Fabre Geffrard oor Frans

Fabre Geffrard

Vertalings in die woordeboek Engels - Frans

Fabre Geffrard

voorbeelde

Faubert later was chosen by President Fabre Geffrard to negotiate the concordat between Haiti and the Pope.
Sous le mandat présidentiel de Fabre Geffrard, il fut désigné comme émissaire et diplomate pour négocier avec le Vatican un Concordat entre Haïti et la papauté.

In 1858 a revolution began, led by General Fabre Geffrard, Duc de Tabara.
En 1858, une révolution commença, dirigée par le général Fabre Geffrard, duc de Tabara et ancien fidèle de l'empereur.

A revolution led by General Fabre Geffrard in 1858, The Emperor was overthrown.
Une révolution menée par le général Fabre Geffrard en 1858, L'empereur a été renversé.

Resentment brewed until he was overthrown by his own lieutenant, Fabre Geffrard.
Le ressentiment bouillonna jusqu’à ce qu’il soit renversé par son propre lieutenant, Fabre Geffrard.

Like Louis Joseph Janvier, he was a noiriste who believed that mulattos such as Fabre Geffrard had exploited blacks like Faustin Soulouque throughout Haitian history.
Comme Louis Joseph Janvier, il était un noiriste qui croyait que des mulâtres tels que Fabre Geffrard avaient exploité des noirs tels que Faustin Soulouque à travers l’histoire haïtienne.

General Fabre Geffrard went to the church to attend the Te-Deum.... He announced a speech that explained the goal and principles of the revolution.
Le général Fabre Geffrard se rendit à l'église et assista à un Te-Deum... Il prononça un discours qui expliquait le but et les grands principes de la Révolution.

Haitian President Fabre Geffrard provided the Dominican rebels with sanctuary and arms, sending a detachment of his presidential guards (the Tirailleurs) to fight alongside them.
Le président haïtien, Fabre Geffrard, leur offre l'asile et des armes et envoie un détachement de ses gardes présidentiels (les tirailleurs) pour se battre à leurs côtés.

It had different names “Fabre Geffrard National High School” then “Nicolas Geffrard High School” and finally they changed the name and they called it “Pinchinat High School” and it was nationalized in 1882.
Il a connu différentes appellations “Lycée national Fabre Geffrard”, puis “Lycée Nicolas Geffrard” et finalement on changea le nom et on l’appela “Lycée Pinchinat” et il a été nationalisé en 1882.

When a republic was restored in Haiti by Fabre-Nicolas Geffrard in 1859, Achintre was pardoned and appointed Haitian ambassador to Washington.
En 1859, à la restauration de la république par Fabre-Nicolas Geffrard, il fut gracié et nommé ambassadeur d’Haïti à Washington.

However, his unsuccessful attempts to reconquer the neighbouring Dominican Republic undermined his control and a conspiracy led by General Fabre Nicolas Geffrard forced him to abdicate in 1859.[2]
Toutefois, ses tentatives infructueuses pour reconquérir la République dominicaine voisine minèrent son pouvoir et une conspiration menée par le général Fabre Nicolas Geffrard le contraignirent à l’abdication en 1859[1].

As president of the Republic of Haiti from 1859 to 1867, Fabre Nicolas Geffrard inherited the project of advancing reconciliation between the Haitian state and the Vatican, a subject which since the year 1820 had been the object of long years of negotiations.
Fabre Nicolas Geffrard, président de la République d’Haïti de 1859 à 1867, hérite du dossier d’un projet de concordat entre l’Etat haïtien et le Vatican, qui a fait l’objet de longues négociations depuis les années 1820.

Escorted by an infantry detachment of the republican guard commanded by General Fils-Aimé and accompanied by several of his old generals and officers, the emperor was taken on foot from his house on the Rue de la Réunion to the French Consulate on the corner of Bonne-Foi and Magasin de l’Etat street... Acting on General Fabre Geffrard’s orders, General Fils-Aimé went to the French consulate to deliver [Soulouque’s] letter of abdication. Probably written by D[amien] Delva, the emperor signed it....
Escorté par détachement d'infanterie de la garde républicaine sous les ordres du général Fils-Aimé et accompagné de plusieurs de ses anciens généraux et officiers, l'Empereur fut amené à pied de sa maison de la Rue de la Réunion jusqu'au Consulat français à l'angle des rues Bonne-Foi et Magasin de l’État... Obéissant aux ordres du général Fabre Geffrard, le général Fils-Aimé se rendit au Consulat français pour délivrer la lettre d'abdication de [Soulouque], probablement écrite par D[amien] Delva et signée par l'Empereur ....