horse-shoe pitching oor Frans

horse-shoe pitching

Vertalings in die woordeboek Engels - Frans

fers à cheval

naamwoord

jeu de fers

jeu de fers à cheval

lancer du fer à cheval

voorbeelde

The game of horseshoe pitching may have originated when Roman soldiers first started to shoe their horses.
Le jeu du tangage en fer à cheval a pu avoir commencé quand les soldats romains ont commencé la première fois à chausser leurs chevaux.

When getting near to San Baudelio de Berlanga, the first thing we see is an austere square construction located on the northern side of a small hill, with a four pitched roof, two doors, one in the northern wall with a double horse shoe arch extended 1/3 of its radius, and another one, round arch, facing west, both placed at different levels availing themselves from the uneven land.
En arrivant à proximité, nous nous trouvons d’abord devant une construction austère et carrée, située sur le côté nord d’une petite colline, avec un toit à quatre versants, deux portes, l’une sur le mur nord, en arc double en fer à cheval prolongé de 1/3 de rayon, et l’autre, en fer à cheval en plein cintre, à l’ouest, toutes deux situées à une hauteur différente, selon la dénivellation du terrain.

San Miguel counts with just one exterior door, linteled and placed, as usual with Mozarabic churches, in the southern side, although in this case its is not in the middle of the church but in the vestibule; and four windows, all of them trumpet shaped, very narrow and finishing in horse shoe arches, one in the apse, another one in the vestibule and the other two in the upper part of the eastern and western sides of the main chamber, which is covered by a four pitched roof that ends in a great eave formed by big granite slabs, supported by large stone modillions, decorated with eight and in some cases up to ten hewn lobes, typically Mozarabic, and leaning on an horizontal edge that goes along the four walls, so that the roof forms a big projection producing a greater sensation of gracefulness.
San Miguel dispose d’une seule porte à l’extérieur, déprimée et située, comme il est habituel dans les églises mozarabes, sur le côté sud, bien que dans ce cas elle ne se trouve pas au centre de l’église, mais dans le portique, et à six fenêtres, toutes très étroites, évasées, et terminées en arcs en fer à cheval, situées l’une dans l’abside, l’autre dans le portique et les quatre autres dans la partie supérieure de chaque mur de la pièce principale. Celle-ci est couverte d’un décorés d’une chaine de huit et, dans certains cas de dix lobes, typiquement mozarabe, et appuyés sur un rebord horizontal qui longe les quatre murs, de telle manière que le toit forme un ample auvent, procurant une plus grande sensation de gracilité. Dans le second modillon du côté nord, nous pouvons observer la taille d’une figure humaine, cas unique de ce genre dans l’Art Mozarabe.