Commission royale sur l'union économique et les perspectives de développement du Canada oor Engels

Commission royale sur l'union économique et les perspectives de développement du Canada

Vertalings in die woordeboek Frans - Engels

MacDonald Commission

Royal Commission on the Economic Union and Development Prospects for Canada

voorbeelde

1983 - 1985 Directeur des politiques, Commission royale sur l'union économique et les perspectives de développement du Canada
1983 - 1985 Director of Policy, Royal Commission on the Economic Union and Development Prospects for Canada

L’économie politique de l’adaptation économique, Toronto, Commission royale sur l’union économique et les perspectives de développement du Canada.
A European Perspective.

63 des études rédigées pour la Commission royale sur l’union économique et les perspectives de développement du Canada.
61 of the Studies Prepared for the Royal Commission on the Economic Union and Development Prospects for Canada.

67, Les Études/Commission royale sur l’union économique et les perspectives de développement du Canada, Ottawa, Approvisionnements et Services Canada, 1986.
355 Roach, Constitutional Remedies (cited in note 343), p.

Bernier, I. et A. Lajoie, La Cour suprême du Canada comme agent de changement politique, Ottawa, Commission royale sur l'union économique et les perspectives de développement du Canada, 1986.
Canadian Legal History Project, Faculty of Law, University of Manitoba, 2000.

La Commission royale sur l'union économique et les perspectives de développement du Canada est constituée en 1982 pour examiner les perspectives économiques du pays et l'efficacité de ses institutions politiques.
The Royal Commission on the Economic Union and Development Prospects for Canada (Macdonald Commission) was appointed in 1982 to examine the future economic prospects of the country and the effectiveness of its political institutions.

En 1985, la Commission royale sur l’union économique et les perspectives de développement du Canada (la Commission MacDonald), invite à faire élire le Sénat par un mécanisme de représentation proportionnelle.
In 1985, the Royal Commission on the Economic Union and Development Prospects for Canada (the Macdonald Commission) called for electing the Senate on a proportional representation basis.

Commission royale d'enquête sur l'union économique et les perspectives de développement du Canada Version anglaise de cet article
We have closely examined the inhibitory effect of dopamine on prolactin release in the absence of ascorbic acid using a perifusion system.

Il est membre de la COMMISSION ROYALE D'ENQUÊTE SUR L'UNION ÉCONOMIQUE ET LES PERSPECTIVES DE DÉVELOPPEMENT DU CANADA de 1982 à 1985.
He was a member of the Royal Commission on the ECONOMIC UNION AND DEVELOPMENT PROSPECTS FOR CANADA 1982-85.

La Commission royale sur l’union économique et les perspectives de développement du Canada a également recommandé, en 1985, que les sénateurs soient élus et que les élections à la Chambre des communes et au Sénat aient lieu en même temps(12).
Development Prospects for Canada recommended similarly in 1985 that senators be elected and that elections for the House of Commons and the Senate take place at the same time.( 12 ) In 1987, the first ministers reached an agreement about constitutional reform, known as the Meech Lake Accord.

La discipline de parti, reconnaissait la Commission royale sur l’union économique et les perspectives de développement du Canada en 1985, « limite grandement l’aptitude des députés à se faire les porte-parole des intérêts de leur province » (Commission MacDonald 1985, vol.
Party discipline, as recognized by the Royal Commission on the Economic Union and Development Prospects for Canada in 1985, "(sharply limits) the ability of individual Members of Parliament to act as spokespersons for their province’s interests."

En 1982, Pierre TRUDEAU nomme Macdonald président d'une COMMISSION ROYALE D'ENQUÊTE SUR L'UNION ÉCONOMIQUE ET LES PERSPECTIVES DE DÉVELOPPEMENT DU CANADA.
In 1982 Pierre TRUDEAU appointed Macdonald chairman of a royal commission on the ECONOMIC UNION AND DEVELOPMENT PROSPECTS FOR CANADA.

50 Commission royale d’enquête sur l’union économique et les perspectives de développement du Canada, Résumé des conclusions et recommandations, Ottawa, 1985, p.
50 Royal Commission on the Economic Union and Development Prospects for Canada, Summary of Conclusions and Recommendations, Ottawa, p.

Par exemple, un document d'information rédigé en 1984 pour la Commission royale sur l'union économique et les perspectives de développement du Canada, la Commission Macdonald, proposait une refonte majeure du programme d'AC, y compris des programmes spéciaux d'emploi ou de formation pour les personnes qui n'étaient pas admissibles aux prestations d'AC.
For example, a background paper prepared in 1984 for the Macdonald Royal Commission on the Economic Union and Development Prospects for Canada proposed a major overhaul of the UI program including special employment or training programs for persons who did not qualify for UI benefits.

Pour un aperçu général du système de péréquation au Canada, voir Thomas J. Courchene, «Paiements de péréquation et partage des pouvoirs» dans Thomas J. Courchene, La gestion économique et le partage des pouvoirs, vol. 67, Les Études/Commission royale sur l’union économique et les perspectives de développement du Canada, Ottawa, Approvisionnements et Services Canada, 1986.
For an overview of equalization in Canada, see Thomas J. Courchene, "Equalization Payments and the Division of Powers", in Thomas J. Courchene, Economic Management and the Division of Powers, Volume 67 of The Collected Research Studies (Royal Commission on the Economic Union and Development Prospects for Canada) (Toronto:

Au milieu des années 80, en partie en réaction à ces échecs, beaucoup d'observateurs, parmi lesquels la Commission royale sur L'UNION ÉCONOMIQUE ET LES PERSPECTIVES DE DÉVELOPPEMENT DU CANADA (Commission Macdonald) se montrent partisans d'une approche moins interventionniste de la stratégie industrielle, où l'on ferait davantage confiance aux forces du marché pour doter l'économie canadienne d'une structure concurrentielle.
In part as a reaction to these failures, by the mid-1980s many observers, including the Royal Commission on the ECONOMIC UNION AND DEVELOPMENT PROSPECTS FOR CANADA (the Macdonald Commission), were advocating a less interventionist approach to industrial strategy - an approach that would place a greater reliance on market forces to shape the competitive structure of the Canadian economy.

Auparavant, lorsque les gouvernements souhaitaient des examens approfondis des options à envisager pour la réforme du secteur public, ils créaient des commissions royales : la Commission royale d’enquête sur l’organisation du gouvernement, la Commission royale sur la gestion financière et l’ imputabilité et même la Commission royale sur l’union économique et les perspectives de développement du Canada comportaient toutes un volet traitant de la gestion de la fonction publique.
Previously, when governments sought fulsome reviews of the possibilities for public service reform, they appointed royal commissions: the Royal Commission on Government Organization, the Royal Commission on Financial Management and Accountability, and even the Royal Commission on the Economic Union and Development Prospects had a significant component on public service management.

À titre de président de l’influente Commission royale d’enquête sur l’union économique et les perspectives de développement du Canada de 1982 à 1985, M. Macdonald a grandement contribué à l’élaboration et à la mise en oeuvre des politiques sociales et commerciales du Canada.
As Chair of the influential Royal Commission on the Economic Union and Development Prospects for Canada (1982-85), Macdonald made substantial contributions to the development and implementation of Canada’s trade and social policies.

Cette conviction a d’ailleurs été renforcée par la publication de nombreuses études économiques entre le milieu des années 1970 et la fin des années 1980 qui concluaient que le programme d’assurance-chômage et plus particulièrement la réforme de 1971 du programme avait contribué à l’augmentation du chômage au Canada1. Les trois principaux rapports produits à cet effet sont le rapport de la Commission royale sur l’union économique et les perspectives de développement du Canada (La Commission Macdonald) soumit au gouvernement du Canada en 1985, la Commission royale sur l’emploi et le chômage (la Commission House) crée par le gouvernement de Terre-Neuve au début de 1985 et la Commission d’enquête sur l’assurance-chômage (la Commission Forget) créé également en 1985 par le gouvernement du Canada.
This conviction was strengthened by the publication of many economic studies between the mid-1970s and the late 1980s to the effect that the unemployment insurance program, and more specifically its 1971 reform, had served to increase unemployment in Canada.1 The three major reports produced in this regard were the report of the Royal Commission on the Economic Union and Development Prospects for Canada (MacDonald Commission) submitted to the federal government in 1985, the Royal Commission on Employment and Unemployment (House Commission) set up by the Government of Newfoundland in early 1985, and the Commission of Inquiry on Unemployment Insurance (Forget Commission) also set up in 1985, by the federal government.

Cette conviction a d'ailleurs été renforcée par la publication de nombreuses études économiques entre le milieu des années 1970 et la fin des années 1980 qui concluaient que le programme d'assurance-chômage et plus particulièrement la réforme de 1971 du programme avait contribué à l'augmentation du chômage au Canada1. Les trois principaux rapports produits à cet effet sont le rapport de la Commission royale sur l'union économique et les perspectives de développement du Canada (La Commission Macdonald) soumit au gouvernement du Canada en 1985, la Commission royale sur l'emploi et le chômage (la Commission House) crée par le gouvernement de Terre-Neuve au début de 1985 et la Commission d'enquête sur l'assurance-chômage (la Commission Forget) créé également en 1985 par le gouvernement du Canada.
This conviction was strengthened by the publication of many economic studies between the mid-1970s and the late 1980s to the effect that the unemployment insurance program, and more specifically its 1971 reform, had served to increase unemployment in Canada.1 The three major reports produced in this regard were the report of the Royal Commission on the Economic Union and Development Prospects for Canada (MacDonald Commission) submitted to the federal government in 1985, the Royal Commission on Employment and Unemployment (House Commission) set up by the Government of Newfoundland in early 1985, and the Commission of Inquiry on Unemployment Insurance (Forget Commission) also set up in 1985, by the federal government.

Commission royale sur l'union économique et les perspectives de développement du Canada
Royal commission on the economic union and development prospects for Canada

Directeur des politiques, Commission royale sur l'union économique et les perspectives de développement du Canada
Director of Policy, Royal Commission on the Economic Union and Development Prospects for Canada

Commission royale sur l'union économique et les perspectives de développement du Canada
Canada Royal commission on the economic union and development prospects for Canada

Rapport de la Commission royale sur l’union économique et les perspectives de développement du Canada, 1985
Report of the Royal Commission on the Economic Union and Development Prospects for Canada, 1985

Commission royale sur l’union économique et les perspectives de développement du Canada, Rapport, Ottawa, Imprimeur de la Reine, 1985, p. 97.
Royal Commission on the Economic Union and Development Prospects for Canada, Report. Ottawa: Queen’s Printer, 1985, p. 88.