criophore oor Engels

criophore

adjektief manlike

voorbeelde

La partie frontale est scandée par trois figures de bergers criophores (portant des ovins sur les épaules), debout sur des socles, entourés de nombreux amours qui vont vendanger, parmi les sarments d’une vigne bien épaisse.
The front is marked by three figures of "kriophoros" shepherds (holding sheep on their shoulders), standing on pedestals, and on the sides there are several cupids busy harvesting among the branches of a dense vine.

Celle du pasteur « criophore », qui porte sur ses épaules un bélier ou un agneau, est une iconographie qui remonte à l’art classique, comme représentation d’un fidèle faisant une offrande, avant de devenir une allégorie de la « philanthropie ».
The "kriophoros" shepherd, holding a ram or a lamb on his shoulders, is an icon rooted in classical art, as a representation of one of the serving faithful and later as an allegory of "philanthropy".

Les images de pasteurs “criophores” (en grec, “porteurs d’un bélier”) étaient ainsi très fréquentes dans les expressions artistiques de l’antiquité gréco-romaine, représentant des personnifications vertueuses de la bonté envers le genre humain.
Images of “criòfori” shepherds (in Greek, “carriers of a ram”) were, therefore, frequently found in the artistic expression of Greek-Roman antiquity, understood as virtuous personifications of goodness towards humankind.

Aux citoyens de l’Empire romain la peinture rappelait la représentation d’Hermès – l’Hermès criophore –, qui porte un bouc sur les épaules et conduit le troupeau.
To the citizens of the Roman empire, the painting recalled Hermas — so-called Hermes Kriophoros — who carries a ram on his shoulders and leads the flock.

Il importe peu de savoir si les figures de pasteurs “criophores”qui nous sont parvenues venant de ce moment précieux de contacts culturels et spirituels que fut le III siècle, ont été réellement créées dans un milieu chrétien: nous pouvons en tous cas reconnaître, guidés par les écritures bibliques et patristiques, sans craindre de faire erreur, le véritable Pasteur dont ces textes nous parlent.
It is not important to establish whether the “criofori” shepherd figures which reached us from that precious moment of cultural and spiritual contact, that is, the third century, were truly created in a Christian environment: we can recognize, in any case, with the guidance of Biblical and patristic writings, without fear of error, the true Shepherd of which they speak to us.