Besonderhede van voorbeeld: 1416637171177776636

English

We get a regular sweating system,[2] a system of the severest exploitation: the “subcontractor” (or “workroom owner,” or “tradeswoman” in the lace industry, etc., etc.), who is close to the worker, knows how to take advantage even of specific cases of his distress and devises such methods of exploitation as would be inconceivable in a big establishment, and as absolutely preclude all possibility of control or supervision.[3] Alongside the sweating system, and perhaps as one of its forms, should be placed the truck system[4] --the system of payment in provisions–which is prohibited in factories, but continues to reign in handicraft industries, especially where the work is distributed to homes.

French

Il en résulte un véritable sweating system où l'on fait suer sang et eau aux exploités, où l'exploitation est poussée à l'extrême: le «maître-artisan» (ou l'«ouvrier en chambre» ou la «marchande» dans l'industrie de la dentelle, etc.) est placé tout près de l'ouvrier, et de ce fait, il peut profiter des moindres moments de gêne de ce dernier et trouver des méthodes d'exploitation qui seraient impensables dans une grande entreprise et qui excluent toute possibilité de contrôle et de surveillance [3]. Une des formes du sweating system est le truck-system qui consiste à payer les salaires en nature. Dans les fabriques, ce système est prohibé, mais dans les industries artisanales, il continue à régner, surtout quand il y a distribution du travail à domicile.