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Gaston Paris

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Gaston Paris

voorbeelde

Muret étudie à Lausanne, à Berlin (avec Adolf Tobler) et à Paris (avec Gaston Paris).
Muret studierte in Lausanne, Berlin (bei Adolf Tobler) und Paris (bei Gaston Paris).

Il compte parmi ses élèves Paul Meyer et Gaston Paris.
Zu seinen Schülern zählten Gaston Paris und Paul Meyer.

Côté périodique, il prend en charge en 1876 La Revue critique d’histoire et de littérature fondée dix ans plus tôt par Paul Meyer et Gaston Paris.
Im Jahr 1876 übernahm er die Revue critique d’histoire et de littérature, die zehn Jahre zuvor von Paul Meyer und Gaston Paris gegründet worden war.

Långfors fréquente l'école de Turku puis fait des études à Helsinki auprès de Werner Söderhjelm, à Paris auprès de Gaston Paris, Paul Meyer et Joseph Bédier, ainsi qu'à Florence auprès de Pio Rajna.
Arthur Långfors ging in Turku zur Schule und studierte in Helsinki bei Werner Söderhjelm, in Paris bei Gaston Paris, Paul Meyer und Joseph Bédier, sowie in Florenz bei Pio Rajna.

Becker étudie d'abord la théologie protestante à Neuchâtel en Suisse, puis se consacre à l'étude de la philologie germanique et romane auprès de Gustav Gröber (en) à Strasbourg et de Gaston Paris et Ferdinand de Saussure à Paris.
Becker nahm zunächst in Neuchâtel ein Studium der Protestantischen Theologie auf, daran anschließend widmete er sich in Straßburg bei Gustav Gröber sowie in Paris bei Gaston Paris und Ferdinand de Saussure den Studien der Romanischen und Germanischen Philologie.

En 1897, il termine deuxième des deux plus grandes classiques de l'époque : Bordeaux-Paris derrière Gaston Rivierre et Paris-Roubaix (derrière le futur vainqueur du premier Tour de France, Maurice Garin).
1897 belegte Cordang jeweils den zweiten Platz bei den Rennen Paris–Roubaix (hinter dem späteren Gewinner der ersten Tour de France, Maurice Garin) und Bordeaux–Paris hinter Gaston Rivierre.

Jean Gaston Darboux (14 août 1842, Nîmes – 23 février 1917, Paris) est un mathématicien français.
Jean Gaston Darboux, genannt Gaston Darboux, (* 14. August 1842 in Nîmes/Languedoc; † 23. Februar 1917 in Paris) war ein französischer Mathematiker.

Elle y étudie la composition avec Nadia Boulanger et Max Deutsch jusqu'en 1971, puis avec Henri Dutilleux à l' École normale de musique et la flûte avec Gaston Crunelle au Conservatoire de Paris.
Hier studierte sie bis 1971 Komposition bei Nadia Boulanger und Max Deutsch sowie bei Henri Dutilleux an der École Normale de Musique und Flöte bei Gaston Crunelle am Conservatoire de Paris.

Il étudie notamment avec André Marchal, Gaston Litaize, puis au Conservatoire de Paris avec Simone Plé-Caussade pour l'écriture, Rolande Falcinelli pour l'orgue et Olivier Messiaen pour la composition.
Leguay studierte bei André Marchal, Gaston Litaize, danach am Conservatoire de Paris mit Simone Plé-Caussade, Rolande Falcinelli (Orgel) und Olivier Messiaen (Komposition).

Ses plaintes au sujet de de Tany restant sans réponse, Gaston de Béarn se tourne vers le Parlement à Paris.
Gaston von Béarn wandte sich, da seine Klagen über Tany erfolglos blieben, an das Parlement in Paris.

Il a étudié l'orgue, avec Gaston Litaize et André Isoir, ainsi que la composition et l'histoire de la musique au Conservatoire de Paris.
Er studierte Orgel bei Gaston Litaize und André Isoir sowie Komposition und Musikgeschichte am Conservatoire de Paris.

A deux pas de la gare TGV Montparnasse et de Saint Germain Des Prés, idéalement situé au centre de Paris à proximité des métros, théâtres et restaurants au cœur d’un quartier animé, cette demeure typiquement parisienne du XIX ème siècle jouit d’une situation très agréable en face du charmant square Gaston Baty.
Eine kurze Strecke vom TGV-Bahnhof Montparnasse und dem Stadtteil Saint Germain des Prés (dem Zentrum von Paris) entfernt, nahe der U-Bahn und den typischen Pariser Restaurants und Theatern, genießt diese Residenz aus dem 19. Jahrhundert mit Blick auf den bezaubernden Gaston Baty Platz eine herrliche Lage im Zentrum einer belebten Gegend.

Lorsqu'elles sont présentées pour la première fois à la Cour de France, le Maréchal de Villeroy dit à l'oncle du Roi, Gaston de France, duc d'Orléans: « Voilà des petites demoiselles qui présentement ne sont point riches, mais qui bientôt auront de beaux châteaux, de bonnes rentes, de belles pierreries, de bonne vaisselle d'argent, et peut-être de grandes dignités » À Paris, les Mazarinettes se font rapidement remarquer en raison de leur apparence.
Als die ersten Mädchen bei Hofe vorgestellt wurden, sagte der französische Marschall Villeroy zu Gaston de Bourbon, dem Herzog von Orléans: „Voilà des petites demoiselles qui présentement ne sont point riches, mais qui bientôt auront de beaux châteaux, de bonnes rentes, de belles pierreries, de bonne vaisselle d'argent, et peut-être de grandes dignités “ (deutsch: „Kleine Fräuleins, die derzeit überhaupt nicht reich sind, aber bald schöne Schlösser, üppige Einkünfte, schöne Geschmeide, Silbergeschirr und vielleicht auch hohe Titel besitzen werden “).