maisonnée oor Latyn

maisonnée

naamwoord vroulike

style (école)

Vertalings in die woordeboek Frans - Latyn

familia

naamwoord vroulike

voorbeelde

J'habite dans une vieille maison.
Domum veterem colo.

Lui-même est notre route vers «la maison du Père» 88, et il est aussi la route pour tout homme.
Idem nostra est via « ad Patrem » (88) et est ad quemlibet hominem via.

Sur l'emplacement du couvent, on a construit des maisons privées.
In colle ad Mutschellen aedificati sunt fere ubique domus privatae.

Cette maison est très petite.
Haec domus valde parva est.

J'ai acheté ma maison il y a deux ans.
Domum meam duobus abhinc annis emi.

Ma maison est la vôtre.
Domus mea tua est.

Puis-je aller à la maison ?
Licetne mihi domum ire?

Cette maison est abandonnée.
Haec domus relicta est.

Mon ami habite dans cette maison.
Amicus meus in hac domo habitat.

Il reproche à son jeune frère ses égarements, et à son père l'accueil qu'il lui a réservé alors qu'à lui-même, sobre et travailleur, fidèle à son père et à sa maison, jamais il n'a été accordé - dit-il - de festoyer avec ses amis.
Exprobrat enim fratrem minor em ob facinora, quae admisit, ac patrem quod eum ita recepit, cum sibimet ipsi, temperanti et operoso, numquam sit concessum — sic ait — ut cum amicis festum haberet.

Ainsi en est-il pour la femme «pécheresse»; il part de son comportement dans la maison du pharisien pour expliquer ce qu'est la rémissíon des péchés: «Ses nombreux péchés lui sont remis, parce qu'elle a montré beaucoup d'amour.
Sic accidit in casu mulieris illius “peccatricis” in domo Pharisaei, cuius agendi rationem Iesus sumit ut initium and illustrandam veritatem de remissione peccatorum: “Remissa sunt peccata eius multa, quoniam dilexit multum: cui autem minus dimittitur, minus diligit” (Luc.

Il est à la maison aujourd'hui.
Hodie domi est.

Cette beauté nouvelle et terrible d'une maison... voilà ce que Dostoïevski a apporté d'unique au monde... »,.
Ita cum infami singularis perfidiae nota in libertatem sese vindicarunt."

Ta maison est très sympa.
Domus tua valde pulchra est.

J'ai une maison.
Domus mihi est.

Ma maison est minuscule.
Domus mea parvissima est.

Le plus jeune dit à son père: "Père, donne-moi la part de fortune qui me revient"», raconte Jésus en décrivant la dramatique histoire de ce jeune: le départ de la maison paternelle vers l'aventure, le gaspillage de tous ses biens dans une vie dissolue et vide, les jours sombres de l'éloignement et de la faim, mais plus encore de la dignité perdue, de l'humiliation et de la honte, et enfin la nostalgie de sa maison, le courage d'y revenir, l'accueil du père.
Et dixit adulescentior ex illis patri: “da mihi portionem substantiae, quae me contingit” »: haec narrans, Iesus casum adulescentis illius, animos commoventem, expresse describit: videlicet profectionem inconsideratam e domo paterna, effusion em omnium bonorum, quae fit vita luxuriosa atque inani, dies caliginosos, quibus ille longinquitatem, famem perpetitur, magis autem amissam dignitatem, humiliation em et pudorem, demum desiderium, quo tenetur, domus suae, fort em animum eo revertendi, patrem, qui excipit eum.

Mon frère n'est pas à la maison.
Frater meus domi non est.

Ma maison est près de la gare.
Domus mea prope stationem est.

Je suis à la maison.
Domi sum.

La salle de bains des logements ultérieurs ne comporte qu'une baignoire, l'évier de la cuisine servant de lavabo... Les maisons sont généralement mal étudiées, et ne disposent pas de salle à manger.
Domui cuique usualiter est camera culina habita, sed etiam aedificiis aliis quae mensas praebent, scilicet deversoria.

Ta mère est-elle à la maison ?
Estne mater tua domi?

Je voudrais construire une nouvelle maison.
Velim novam domum facere.

Elle a mis sa maison en vente.
Domum venalem proposuit.

Toute la vie chrétienne est comme un grand pèlerinage vers la maison du Père, dont on retrouve chaque jour l'amour inconditionnel pour toutes les créatures humaines, et en particulier pour le « fils perdu » (cf.
Vita tota christiana tamquam magna est peregrinatio ad Patris domum, cuius cotidie summus in omnem humanam creaturam amor conspicitur, singulariter in “perditum filium” (Luc.