homicida oor Frans

homicida

/ho.miˈkiː.da/ naamwoord manlike

Vertalings in die woordeboek Latyn - Frans

assassin

naamwoord manlike

homicide

naamwoord manlike

meutrier

naamwoord manlike

meutrière · meurtrière · tueur · tueuse

voorbeelde

Cuilibet proximi violationi subest nimirum concessio facta “logicae” maligni, eius scilicet qui “homicida erat ab initio” (Io. 8, 44), uti apostolus commemorat Ioannes: “Quoniam haec est annuntiatio, quam audistis ab initio, ut diligamus alterutrum. Non sicut Cain: ex Maligno erat et occidit fratrem suum” (1 Io.
A la source de toute violence contre le prochain, il y a le fait de céder à la « logique » du Mauvais, c'est-à-dire de celui qui « était homicide dès le commencement » (Jn 8, 44), comme nous le rappelle l'Apôtre Jean: « Car tel est le message que vous avez entendu dès le début: nous devons nous aimer les uns les autres, loin d'imiter Caïn, qui, étant du Mauvais, égorgea son frère » (1 Jn 3, 11-12).

Sua tamen ne homicida quidem dignitate destituitur cuius rei Deus ipse dat sese vadimonium.
Meurtrier, il garde sa dignité personnelle et Dieu lui-même s'en fait le garant.

Secundum eandem hanc mentem, imperiosum quiddam sonat apostoli Ioannis vox: “Omnis, qui odit fratrem suum, homicida est, et scitis quoniam omnis homicida non habet vitam aeternam in semetipso manentem” (1 Io. 3, 15).
Dans cette même perspective, ont aussi un ton péremptoire les paroles de l'Apôtre Jean: « Quiconque hait son frère est un homicide; or vous savez qu'aucun homicide n'a la vie éternelle demeurant en lui » (1 Jn 3, 15).

Saepe Columbo qui homicida est in principio intellegit.
La première, Jemail, est l'esprit d'un terroriste qui a été initialement absorbé.

Duo homines, et homicida et hostia, deiecti sunt in schola in Norvegia septentrionali.
Sa mère, ses deux frères, sa sœur et lui s'installent en Californie du Nord.

Constat porro primis saeculis gravissima inter flagitia esse recensitum homicidium una cum apostasia et adulterio, publicamque paenitentiam postulatam esse valde onerosam ac longam prius quam paenitenti homicidae venia concederentur et accessio denuo in ecclesialem communionem.
On sait que, dans les premiers siècles, l'homicide faisait partie des trois péchés les plus graves — avec l'apostasie et l'adultère — et qu'il exigeait une pénitence publique particulièrement pénible et longue, avant que le pardon et la réadmission dans la communion ecclésiale soient accordés à l'auteur repenti d'un homicide.