étonné oor Esperanto

étonné

adjektief, werkwoord manlike

Vertalings in die woordeboek Frans - Esperanto

mirigita

adjektief

Je suis resté sans voix tellement j'étais étonné.
Mi restis senvoĉa, tiom mi estis mirigita.

Soortgelyke frases

étonner
miregi · miregigi · miri · mirigi · surprizi

étonnant
mira · mirige · mirinda

voorbeelde

J'étais trop étonnée pour parler.
Mi estis tro surprizita por paroli.

J'ai été étonné par son courage.
Mi estis mirigita de lia kuraĝo.

Thomas voulait étonner Marie.
Tomaso volis mirigi Maria'n.

Tu étais étonné.
Vi estis mirigita.

Je ne vous étonne pas.
Mi ne mirigas vin.

Si, par hasard, c’était le médecin Glaucos, il n’en serait pas même étonné.
Se tio estos Glaucus la kuracisto, li eĉ ne miros.

Sam marchait à côté de Frodon comme dans un rêve, avec une expression mi-partie de crainte et mi-partie de joie étonnée.
Sam marŝadis flanke de Frodo, kvazaŭ sonĝante, kaj kun vizaĝesprimo duone tima kaj duone subpremite ĝoja.

Nos sensations ne nous trompent-elles pas ? l'étonnement comme peur face à l'inconnu, et notamment face à la mort.
Cu niaj sentoj ne erarigas nin ? miro kiel timo antaŭ la nekonato kaj ĉefe antaŭ la morto.

Je suis étonnée que vous ayez eu le courage de refuser sa main.
Mi estas mirigita, ke vi havis la kura ̧on malakcepti lian manon.

Et Hermès raille le héros : «Je suis étonné qu'étant devin, tu n'aies pas prévu le supplice que tu subis.
E Hermes mokas la heroo: 'Astonas me ke, esante mi-Deo, vu ne previdis la tormento quan vu nun subisas'.

Rien ne saurait étonner un Américain. On a souvent répété que le mot "impossible" n’était pas français; on s’est évidemment trompé de dictionnaire. En Amérique, tout est facile, tout est simple, et quant aux difficultés mécaniques, elles sont mortes avant d’être nées.
Nenio povus mirigi Usonanon. Ofte oni gurdadis, ke la vorto "neebla" ne estas franca; oni evidente aludis netrafan vortaron. En Usono, ĉio estas facila, ĉio estas simpla, kaj koncerne la mekanikajn malglataĵojn, ili malaperis antaŭ ol ekzisti.

La Tormansienne le regardait maintenant avec attention et étonnement.
La tormansanino nun rigardis al li atente kaj mire.

L’ennemi s’étonne, ses colonnes s’arrêtent : « La victoire est à nous ! » crie Kellermann, et l’artillerie française redouble son feu sur les têtes de colonnes prussiennes.
La malamiko miris, ties kolonoj haltis : «La venko estas nia! » kriis Kellermann, kaj la artilerio, kies pafado pli fortis, frakasis la kapojn de la prusaj kolonoj.

Se surprendre, s'étonner, c'est commencer à comprendre.
Surpriziĝi, miri, signifas komenci kompreni.

J'étais étonné.
Mi estis mirigita.

— Je m’étonne que Votre Sainteté veuille importuner notre maître pour de pareilles broutilles ...
—Mi miras, ke via ekscelenco volas maltrankviligi nian sinjoron per tiaj aferoj.

Je suis toujours étonné, de te voir.
Mi ĉiam miras vidi vin.

Dévouée aux horreurs de ses funestes feux, / Didon surtout, Didon le dévore des yeux ; / et, le cœur agité d'un trouble qui l'étonne, / admire et les présents et celui qui les donne.
Pli ol ĉiuj tamen la kompatinda Didono, jam kondamnita esti konsumota je la fajro de l' estonta pasio, ĉion glutas per la okuloj, profunde impresata kaj de la luksaj donacoj kaj de l' ĉarma knabo.

La philosophie naît de notre étonnement au sujet du monde et de notre propre existence, qui s'imposent à notre intellect comme une énigme dont la solution ne cesse dès lors de préoccuper l'humanité.
La filozofio naskas el nia miro pri la mondo kaj nia propra ekzito kiuj fariĝas necesaj al nia menso kiel enigmo kies la solvo senĉese maltranviligas la homaron...

Je suis étonnée qu'on ne vous ait pas invité.
Mi miras, ke mi ne invitis vin.

Ce fut au tour des Terriens d’échanger des regards étonnés : le souverain de Tormans connaissait les mesures terriennes
Venis vico de la teranoj interŝanĝi mirigitajn rigardojn: la estro de Tormans konis terajn mezurunuojn

Ils en furent étonnés, mais ils en découvrirent bientôt la raison.
Ili miris pri tio, sed ili baldaŭ trovis la kialon.

Elle me regarda d’un air étonné. « Maman, cria-t-elle, voilà une femme qui me demande la soupe. – Eh bien !
Ÿi mirigite rigardis min, poste ÿi kriis: ”Patrino, çi tie estas virino, kiu volas havi la kaçon.”

Il ne ressentait ni faim ni lassitude, il était seulement empli d’étonnement.
Li sentis nek malsaton nek laciĝon, nur pleniĝon je miro.